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À propos de MyFarm


Une jeune entreprise qui veut révolutionner l'alimentation des ménages


L'histoire de MyFarm

MyFarm est une jeune entreprise née de la volonté farouche de transformer la manière dont les ménages s'approvisionnent en nourriture. Depuis 2021, nous poussons la voie vers une nouvelle ère où cultiver ses propres aliments à la maison devient non seulement possible, mais incroyablement simple, et surtout accessible à tous.

Tout a débuté durant la pandémie, alors que le monde redéfinissait ses priorités. Animés par une quête d'indépendance alimentaire et insatisfaits des limites de notre potager en permaculture, nous avons entrepris un voyage ambitieux : concevoir un système aquaponique nécessitant un minimum d'entretien et capable de rapprocher notre foyer de l'autonomie alimentaire. Ce projet a rapidement capté l'attention de notre entourage, tant et si bien que MyFarm est née, destinée à répliquer cette chance pour tous ceux qui partagent notre rêve.

Aujourd'hui, la demande pour des solutions locales, durables et ultra-efficaces est plus forte que jamais. Chez MyFarm, nous croyons que les ménages jouent un rôle crucial dans cette révolution verte, et que l'aquaponie est la clé pour libérer ce potentiel. Notre mission ? Rendre cette technologie accessible à chacun, et accélérer la transition vers une production alimentaire à domicile.

La révolution est en marche. Rejoignez-nous et participez à cette aventure visionnaire qui transforme l’avenir de l’agriculture.


La vision du fondateur

Votre vie est entre les mains de quelqu’un d’autre

Votre vie, ainsi que celle de votre ménage, sont matériellement dépendants du stock disponible dans les rayons alimentaires de votre supermarché.

Votre supermarché, quant à lui, est dépendant des quelques multinationales qui se partagent à elles seules le marché très concentré de l’agroalimentaire. Depuis la Seconde Guerre Mondiale, celles-ci sont parvenues à nous rendre prisonniers d’une nourriture brevetée et dépendante de ses produits pétrochimiques.

Nous nous sommes empêtrés dans le confort de tout recevoir sur un plateau, avec une confiance aveugle vis-à-vis de ce qui finit dans notre bouche.

Aveugles, nous le sommes de moins en moins. Mais nous n’avons d’autre choix que de fermer les yeux, parce que cette dépendance nous empêche de faire autrement.

Cette dépendance a engendré des habitudes alimentaires qui dépassent l’entendement

Les habitudes de consommation qui caractérisent notre époque sont aberrantes : les aliments qui constituent notre assiette peuvent avoir parcouru jusqu’à 60.000 km (1).

Tout cela pour que 20% de cette assiette finisse à la poubelle (2), avec les emballages qui ont fait le voyage avec eux.

Tout cela pour des fruits et légumes standardisés, sélectionnés pour leurs qualités de production, de présentation et de conservation, et certainement pas pour leur apport nutritionnel ou leur goût.

Tout cela pour des fruits et légumes imprégnés de pesticides et de produits chimiques. L’ONG PAN Europe a démontré, entre 2011 et 2019, une augmentation de 53% des résidus de pesticides considérés comme extrêmement toxiques sur les fruits cultivés en Europe, pourtant interdits depuis 2011 en raison de leur dangerosité (3).

BIGH, la plus grande ferme urbaine d’Europe sur les toits de Bruxelles. Et c’est une ferme aquaponique !

Le grand retour de l’autonomie alimentaire a sonné

Nous ne parlons plus simplement de réchauffement climatique, mais de dérèglements climatiques. Augmentation des vagues de sécheresse, des inondations, du niveau de la mer. Les zones fraîches deviennent de plus en plus humides et les zones sèches de plus en plus arides (4). La décarbonisation de nos consommations est probablement la seule issue.

Un monde décarboné est assurément un monde agricole. Non pas avec d’imposantes moissonneuses batteuses parcourant des hectares de champs en monoculture, mais avec une foule de petites mains cultivant fruits et légumes sur les murs de leur immeuble et sur chaque petit espace à disposition. Comprendre la nature et produire de la nourriture ne sera plus seulement un métier, mais le devoir de chacun.

C’est pourquoi nous pensons que d’ici peu de temps, nos logements ressembleront davantage à des micro fermes résilientes capables de produire une grande part de leur alimentation, rendant enfin aux foyers leur autonomie si précieuse.

L’autonomie alimentaire rend la vie meilleure

Être autonome en alimentation présente des avantages de valeur inestimable :

  • Être autonome, c’est être le maître de son alimentation. Vous reprenez le contrôle sur ce qui finit dans votre assiette. Cela revient à manger plus sainement : moins de sucre, moins de sel, moins de gras, moins de produits chimiques et moins de pesticides.
  • Être autonome, c’est être résilient face aux aléas de la vie. Au cas où une nouvelle épidémie éclate, vous et votre ménage êtes capables de tenir des mois sans sortir de chez vous. Si une nouvelle crise fait disparaître des produits des rayons, vous absorbez le choc plus doucement que vos voisins.
  • Chacune des pistes vers l’autonomie est bien sûr un pas vers la décarbonisation, et par conséquent une économie pour votre budget ménager. Tout investissement dans son autonomie alimentaire est un investissement qui réduit les dépenses et qui peut s’avérer plus rentable que n’importe quel indice boursier.
  • Produire soi-même revient à s’armer contre l’inflation. Lorsque les prix augmentent, ce sont les matières premières mais surtout les moyens de production qui deviennent plus chers. Pour vous, une fois que vous avez acquis vos outils, seules vos matières premières augmentent de prix.
  • Enfin, et c’est peut-être le point le plus intéressant de tous, produire son alimentation procure un profond sentiment de satisfaction quotidien. On décèle un lien significatif entre la culture de légumes et notre bien-être (5). Sur le plan neurologique, la neuropsychiatre Sue Stuart-Smith parle d’euphorie du jardinageSemer et récolter ses légumes génère un afflux de dopamine dans le cerveau (6), l’hormone du bonheur. On parle même aujourd’hui de “jardinothérapie” pour contrer le stress et le burn-out (7). Une méta-analyse britannique montre qu’une simple demi-heure de jardinage contribue à réduire le niveau de stress. Un potager s’avère d’ailleurs être l’un des plus importants points communs entre les habitants de ces régions du globe où l’on vit plus vieux qu’ailleurs. Le lien que nous ressentons avec les plantes est donc inscrit dans notre ADN (6).

Chez MyFarm, les pratiques pour accroître son autonomie alimentaire, on connaît bien (voir nos 12 pratiques vers l’autonomie alimentaire). Mais notre préférée, c’est de loin l’aquaponie.

Nos 12 pratiques vers l’autonomie alimentaire.

Ce qui rendra votre foyer autonome en alimentation, c’est l’aquaponie

Depuis quelques années, en Australie puis aux Etats-Unis et maintenant partout dans le monde, des passionnés se démènent pour développer l’aquaponie et se réapproprier leur autonomie alimentaire.

Le succès de cette technique est loin d’être anodin. On le doit à ses nombreux avantages qui résolvent en cascade la plupart des problèmes très actuels de l’agriculture traditionnelle :

  • Un système aquaponique peut s’intégrer à des endroits inadaptés à l’agriculture traditionnelle, comme un petit jardin ou une terrasse en ville.
  • Cela rend possible une production extrêmement locale éliminant tout transport, emballage et nourriture non consommée.
  • Son système fermé le rend très facile à maîtriser et donc accessible aux non professionnels. Il n’y a plus lieu de se battre contre les nuisibles et les aléas climatiques.
  • Un système fermé implique également l’absence de toute pollution de l’environnement.
  • L’absence de nuisibles implique l’absence de pesticides, et donc la récolte de fruits et légumes tels qu’ils seraient cueillis dans la nature.
  • Un aménagement ergonomique et l’absence de terre rendent toute machinerie sophistiquée inutile. Il suffit de cueillir les légumes à notre portée.
  • L’engrais naturel procuré par les poissons permet d’éviter tout engrais chimique. Cela implique également une parfaite connaissance des intrants utilisés.
  • Un système aquaponique nécessite des moyens de production peu coûteux, une faible consommation en énergie et une consommation d’eau réduite au strict minimum (seule l’eau évaporée et absorbée par les végétaux sont nécessaires, ce qui implique des besoins en eau réduits de 90% par rapport au maraîchage traditionnel (8)).
  • L’absence de pesticides et d’engrais chimiques impliquent la réappropriation de notre indépendance vis-à-vis des multinationales de l’agroalimentaire.
  • Une production domestique implique la réappropriation de notre indépendance vis-à-vis de la grande distribution, voire même du système financier. Cela implique également un choix plus vaste et plus goûteux en fruits et légumes. Enfin, cela implique la redécouverte d’un besoin humain fondamental, celui du contact quotidien avec la nature.

Il y a peu de pistes qui rassemblent autant de messages d’espoir. C’est pourquoi nous sommes intimement convaincus que nous travaillons sur l’avenir de l’alimentation. Et nous sommes convaincus que nous faisons du bien à la planète en essayant de vous convaincre de nous rejoindre dans l’aventure.

Chez MyFarm, nous voulons rendre aux ménages leur autonomie


Sources
(1) Profacility 
(2) Les Echos 
(3) Le Soir 
(4) RTBF 
(5) Research Gate 
(6) L’Echo 
(7) Le Figaro 
(8) Nations Unies 

Nous souhaitons rendre l’aquaponie accessible à tous

Nous nous sommes inspirés de ce qui se fait ailleurs en Europe, où l’on peut trouver des serres aquaponiques de 3,5 m² à partir de 6.000 €, revenant à plus de 100 € par emplacement de plant.

Attachés à notre objectif de rendre cette technologie plus accessible, chez MyFarm nous nous adressons au grand public en offrant une solution à 23 € par emplacement de plant, soit 4 fois moins chère que ce que l’on peut trouver en France. Cela en fait un investissement 2x plus intéressant que des panneaux solaires.

Pourtant, étant produit à 85% en Belgique, le système MyFarm est uniquement constitué de matériaux de la plus grande qualité.